L'avocat des sinistrés a signé mardi une entente à l'amiable avec les procureurs du gouvernement. L'entente devra toutefois être approuvée par un juge de la Cour supérieure.
L'entente stipule que Québec ne reconnaît nullement sa responsabilité dans les événements de juillet 1996.
Ce recours ne pourra donc servir d'argument à d'autres pour poursuivre le gouvernement.