La pauvreté est parfois bien visible, sur les trottoirs ou dans les lieux publics de la métropole.
Dautres fois, elle est à labri des regards.
Notre reporter Yves Poirier est allé à la rencontre dun homme qui na que pour ménage une tente, des couvertures et quelques accessoires de cuisine.
Philippe Loiselle «habite» dans un boisé de Saint-Eustache, où il passe les froides nuits de décembre avec pour seule compagnie une dizaine de chiots.
Lhomme de 53 ans a confié être incapable de continuer ainsi et demande la charité.
Du côté de la municipalité, il y a peut-être une ouverture. Mais des détails doivent être réglés...