Le jeune homme de 25 ans accusé, la semaine dernière, d’avoir commis une agression sexuelle au pavillon Alphonse-Marie-Parent de l’Université Laval a pu reprendre sa liberté.
Mohamed Mehdi Ghanmi a cependant dû s’engager pour un montant sans dépôt de 1000 $ et il devra habiter chez un ami qui réside près de Montréal.
Le procureur aux poursuites criminelles et pénales, Me François Godin, a également interdit à l’accusé de contacter la victime alléguée. Le jeune homme doit revenir devant le tribunal le 8 mars prochain.
Rappelons qu’il y a une semaine, la présumée victime, qui habite au pavillon Alphonse-Marie-Parent, a contacté le service d’entraide des résidences après avoir été agressée sexuellement. Les policiers sont intervenus plus tard dans la soirée pour recueillir la plainte.