À peine une semaine après la légalisation du cannabis, la SQDC est déjà en rupture de stock songeant même à fermer des succursales faute de marchandises à offrir aux consommateurs.
«C’est complètement hallucinant, lance Richard Martineau. (...) Les Hells Angels sont une entreprise privée qui veut répondre à la demande et qui bouge vite alors que la SQDC, c’est le gouvernement, c’est lent», se moque notre chroniqueur.
Voyez l’intégralité de sa chronique «Réveillez-vous» dans la vidéo ci-dessus