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SQDC: «Syndiqués, mais incapables de vendre quoi que ce soit»

Au moment où les succursales de la Société québécoise du cannabis (SQDC) annonçaient vendredi devoir fermer leurs portes trois jours semaines en raison du manque d’approvisionnement, les employés eux, se syndiquaient.

«Ils sont maintenant camarades avec leurs collègues de la SAQ», note Richard Martineau dans le cadre de sa chronique au Québec Matin.

Il dit «comprendre» les récriminations des employés de la société d’État, et ironise sur le travail «très difficile» d’un commis de la SQDC.

«C’est toute une job travailler à la SQDC! Tu rentres le matin tu te fais engueuler par la file de monde qui attend depuis 7 heures le matin. T’essaies d’ouvrir la porte, t’as trois gars complètement gelés devant la porte, faut que tu les tasses. Là, il faut que tu ouvres les lumières. Il y a en a des lumières là-dedans, il n’y a pas juste un interrupteur! Il faut que tu fasses tout le tour de la boutique! Après ça il faut que tu places les produits sur les tablettes! Ça en fait énormément! Faut pas que tu mettes le Purple Chitral avec le Pink Kush! C’est une sacrée job»

«Quand l’État se mêle de quelque chose, ça roule! Mais ils ne vendront rien parce qu’ils sont en rupture de stock», déplore le commentateur.

Voyez sa chronique intégrale dans la vidéo ci-dessus.

 

 

 

 

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