/news/currentevents

Certains sont trop curieux envers la baleine

Pêches et Océans Canada a ouvert trois dossiers d’enquête sur des plaisanciers qui ont approché le rorqual à bosse, qui nage en eaux montréalaises, d’un peu trop près. 

• À lire aussi: Que fait le rorqual à bosse à Montréal?

• À lire aussi: Le rorqual à bosse est «arrivé dans un cul-de-sac»

• À lire aussi: La fameuse baleine à bosse près du pont Jacques-Cartier

Dans les derniers jours, ils sont nombreux à avoir tenté d’approcher la baleine.

La loi stipule pourtant qu’il est interdit de s’approcher des mammifères marins à moins de 100 mètres, sous peine d’une amende pouvant atteindre plusieurs milliers de dollars. 

Les agents des pêches et le SPVM gardent l’oeil ouvert étant donné la grande popularité du rorqual à bosse qui a passé les derniers jours en face de l’île de Montréal. 

« C’est pas parce que les agents des pêches et le SPVM ne sont pas visibles sur l’eau qu’on ne vous voit pas. Des partenaires travaillent pour nous sur les berges. Il peut y avoir enquête», rappelle Charles Dufault, superviseur chez Pêches et Océans Canada. 

Les curieux sont nombreux, en bateau, mais aussi sur le Quai de l’horloge, à tenter d’apercevoir le rorqual à bosse. De temps en temps, il lâche un grand jet à la surface, et a même effectué des dizaines de saut hors de l’eau mercredi soir. 

Avec les marinas qui sont officiellement ouvertes depuis le 1er juin et la fin de semaine qui s’en vient, il est bon de rappeler qu’il faut absolument respecter une certaine distance avec ce mastodonte de 30 à 40 tonnes en visite. 

Dans la même catégorie

Commentaires

Vous devez être connecté pour commenter. Se connecter

Bienvenue dans la section commentaires! Notre objectif est de créer un espace pour un discours réfléchi et productif. En publiant un commentaire, vous acceptez de vous conformer aux Conditions d'utilisation.