La Fondation pour l'alphabétisation a enregistré une hausse importante de demandes pour ses services depuis le début de la pandémie qui cause plusieurs ennuis pour ces citoyens.
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«Je ne demande pas la lune, je ne demande rien qu'à savoir lire, c'est tout», mentionne François Riendeau, étudiant du centre d’éducation des adultes Champlain.
Un Québécois sur deux ne comprend pas ce qu'il lit.
«Ils ne sont pas capables de lire. Et parfois, ils ne trouvent personne pour les aider. Donc, ça arrive qu'ils retournent bredouilles quand ils s'en vont faire quelque chose. C'est extrêmement frustrant. Donc, ils se sentent vraiment exclus de la société à cause de ça», souligne Florence Nguemdjo, enseignante en alphabétisation au centre d’éducation des adultes Champlain.
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