Une visite au parc Omega d’une mère et ses enfants en voiture a tourné au cauchemar après qu’un wapiti en rut les ait attaqués.
«Ils ont même pas eu l’occasion d’avancer 500 mètres qu’ils ont eu l’honneur de voir le wapiti avancer sur eux. Malheureusement il était pas content vu que c’est la période de rut, donc on va présumer qu’il n’était pas fier de voir le véhicule arriver, et il a décidé de la charger», a témoigné la mère de la victime.

Photo courtoisie | TVA Nouvelles
Les animaux en rut sont dangereux
En période de reproduction, il est important de ne pas s’approcher des animaux, car leur comportement est modifié.
«C’est sûr que les animaux sauvages sont imprévisibles tout au long de l’année, mais il y a des périodes à surveiller, et le rut à l’automne en est une», a expliqué Éric Dussault, de Sauvetage animal rescue.
À qui est-ce dommageable?
La situation, pour le moins rocambolesque, soulève la question de la responsabilité des dommages d’un point de vue de l’assurance.
«Les impacts avec les animaux sont considérés comme des impacts non responsables, donc on ne les considère pas comme des collisions d’un point de vue des assurances», souligne Louis Cyr, courtier en assurances.
«On va classer ces dommages dans la catégorie B3, donc «accident sans collision». La raison est simple, c’est que ce n’est pas une collision entre deux véhicules assurés, mais plutôt une collision avec un animal, ce qui est considéré comme un objet», a-t-il poursuivi.
Retrouvez l’intégralité de la chronique d’«À vos affaires» dans la vidéo ci-dessus.