Les urgences débordent, pourtant, c’est environ 1 client sur 5 du Guichet d'accès à la première ligne (GAP) qui ne se présente pas à son rendez-vous, selon le Dr Daher.
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Au mois d’avril, «les statistiques étaient pires, mais maitenant on stagne entre 18 et 20% des patients qui ne se présentent pas», affirme-t-il.
Le GAP, encore méconnu de la population pourrait aider, mais ce qu’il faut surtout, dit Dre Judy Morris c’est «d’injecter beaucoup de personnel dans tout le réseau, dans les soins de longue durée».
Actuellement, le personnel de la santé est surchargé.
«Humainement, ce n’est plus possible d’accepter d’autres patients. On est déjà à pleine capacité et aujourd’hui, j’ai accepté 8 patients de plus. Plusieurs médecins font la même chose», dit le Dr Daher.
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