La possibilité de voir le gouverneur de la Floride, Ron DeSantis, à la tête du parti républicain lors des prochaines élections présidentielles en 2024 n’est pas plus attrayante selon l’ancien co-porte-parole masculin de Québec solidaire.
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«Quand j’ai relu ses politiques des dernières années, ça m’a fait penser aux ayatollahs iraniens. C’est lui en 2021, par décret veut dicter qu’est-ce qui va être enseigné dans les écoles. C’est lui qui, quelques années auparavant, a édicté une politique qui oblige les étudiants dans les universités et les professeurs à déclarer leur orientation politique. Je crois entendre le ministère des bonnes mœurs du régime des ayatollahs en Iran», mentionne Amir Khadir.
Même si Mathieu Bock-Côté ne partage pas les mêmes idées des Américains, il croit plutôt qu’on devrait chercher à comprendre pourquoi nos voisins du sud sont si loin que nous sur l’échiquier politique.
«Je dois chercher à comprendre leur point de vue, voir pourquoi ils voient le monde d’une manière si différente que je le vois. De la même manière, je pense que par rapport aux républicains américains. On doit chercher à les comprendre. Pour quelle raison voient-ils le monde ainsi?», dit-il.
Voyez les explications complètes dans la vidéo ci-dessus.