«Le temps que l’on va passer à critiquer Carey Price dont le travail est, et il l’a fait admirablement, d’arrêter des rondelles, on ne le passera pas à critiquer des groupes qui ont probablement manipulé un joueur de hockey en ne lui donnant pas toute l’information», appuie le chef du Parti Québécois (PQ).
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Paul St-Pierre Plamondon revient sur la publication du gardien des Canadiens qui s’en prenait à Justin Trudeau quant à la loi sur le contrôle des armes à feu et l’appui qu’il donnait à la Canada's leading firearm rights organization.
D’ailleurs ce matin, Price a refait une publication sur son compte Instagram affirmant que contrairement à ce qui a été véhiculé, il était informé de la tuerie qui a fait 14 victimes, le 6 décembre 1989.
Le chef du PQ soutient qu’il en a «contre des groupes qui utilisent le code promotionnel Poly. Ce n’est pas Carey Price l’enjeu», martèle-t-il.

«La question qu’il faut se poser, c’est qui l’a mal informé en préparation de sa sortie, qui ne lui a pas donné toute l’information. [...] Je ne veux pas que l’on s’acharne sur Carey Price.»
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«Qui a approché Carey Price pour cette sortie-là?» répète le chef péquiste, et ce, sur la base «d’informations incomplètes». «Ce n’est pas Carey Price, le sujet. On peut laisser Carey Price tranquille.»
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