Les membres du groupe Kiss auraient utilisé un traitement de prévention créé par une société biomédicale de la Colombie-Britannique pour éviter de contracter la COVID-19 et ainsi minimiser le risque d'annuler leur tournée d'adieu.
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Le groupe et son entourage se seraient tournés vers Ondine Biomedical, basée à Vancouver, après que le chanteur Paul Stanley eut contracté la maladie à coronavirus. Cette société canadienne propose un liquide désinfectant pour le nez, qui s’active par l’entremise de lumières attachées à des sondes. Ce procédé tuerait les virus cachés dans le système respiratoire.
Cette technique serait d’ailleurs utilisée depuis plusieurs années dans les hôpitaux canadiens pour réduire les infections chez les patients opérés et réduirait la durée des séjours hospitaliers, des réadmissions et de l'utilisation d'antibiotiques.
Les résultats d'une petite étude médicale, publiée en janvier dernier, auraient révélé que le traitement réduisait les infections à la COVID-19 et ralentissait la progression des symptômes chez ceux qui avaient le virus, a rapporté le «National Post» lundi.
Les quatre membres de Kiss auraient reçu le traitement de «photodésinfection nasale» d’Ondine Biomedical ainsi que l’appareil antimicrobien à large spectre, en prévention.