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11 produits d'épicerie que les Québécois paient moins cher que les autres Canadiens

Man pushing shopping cart in the supermarket aisle

Davizro Photography - stock.adobe.com

L’augmentation du prix du panier d’épicerie frappe de plein fouet les Québécois, mais sachez que certains produits sont – en moyenne – moins chers dans la Belle Province que dans les autres provinces canadiennes.

Dans un rapport publié par Statistique Canada en février dernier, l’organisme gouvernemental dresse une liste des aliments ainsi que leur prix enregistré dans les provinces canadiennes.

Cette mesure est possible grâce à l’Indice des prix à la consommation (IPC), qui «mesure la variation de prix d’un produit dont la marque et les caractéristiques de qualité détaillées sont les mêmes d’un mois à un autre».

La vérification des prix a été effectuée en décembre 2022, et ce, d’un bout à l’autre du pays. Voici les produits qui se démarquent.

Viandes, œufs, produits laitiers

Les œufs les moins chers sont au Québec. En moyenne, la douzaine se vendait 3,36 $. La moyenne canadienne est de 4,36 $.

Les consommateurs au Québec bénéficient d’un bon prix pour leur poulet, alors que le prix au kilogramme du poulet entier tourne autour des 5,33 $. La moyenne nationale atteint les 6,58 $.

Fruits, légumes, conserves et céréales

Les épiceries au Québec parviennent à afficher d’excellents prix, notamment pour les légumes.

Céleri (unité) : 3,47 $ au Québec versus 3,64 $ pour la moyenne nationale.

Statistique Canada souligne aussi les prix compétitifs des carottes, des avocats, des oignons, des concombres, des brocolis et des fraises au sein du marché québécois.

Pour les amateurs du pot de beurre d’arachide (1 kg), prenez note que vous le payez moins cher que les citoyens des autres provinces canadiennes, à un prix médian de 5,34 $.

Mention honorable à souligner : les fameuses conserves de 284 ml de soupe se détaillent, en moyenne, à 1,53 $ au Québec.

Pour voir le rapport complet de Statistique Canada, consultez le site suivant.

***Voyez l’entrevue avec Sylvain Charlebois ci-dessous qui revient sur l’actualité concernant les grands épiciers canadiens***

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