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Crise du logement: à quoi s’attendre pour le 1er juillet?

Selon les données de la Société canadienne d’hypothèque, il serait de plus en plus difficile de trouver un logement abordable à Montréal. 

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La Société prévoit que les prix des loyers augmenteront à nouveau prochainement en raison du peu de logements disponibles. 

Le taux d’inoccupation ne cesse de diminuer depuis les dernières années. Il atteint 1,6% en 2023, alors qu’il s’agissait presque du double (3%) en 2021.

La tendance est au logement modeste, petit et peu coûteux dans le Grand Montréal cette année, en raison notamment de l'inflation, rapporte le fondateur de l’application loge.moi, Grégoire Gervais-Vachon. 

Annick Tremblay, une propriétaire de logements dans Rosemont, affirme que les locataires qui paient un prix avantageux n’osent plus quitter leur logement de peur de perdre un tarif préférentiel, ce qui confirme la tendance.

«Les gens, quand ils ont un logement pas cher, ils ne bougent pas», déclare-t-elle. 

Ce type de logement devient donc plus rare sur le marché.

Plusieurs se tournent donc vers des groupes Facebook et des applications qui gagnent en popularité.

«Au cours des deux derniers mois on eu à peu près 20 000 demandes d'adhésion, explique la fondatrice du groupe Logements entiers à Montréal, 1000 et moins, Alexe Robert. Il y a très peu d'offre, mais énormément de demande.»

Voyez l'intégralité du reportage dans la vidéo ci-dessus

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