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ADN: «des avancées extrêmement encourageantes» pour les familles des victimes de meurtre

Une récente technologie d’empreinte génétique a permis d’identifier, près de 50 ans plus tard, le meurtrier de Sharron Prior, une Montréalaise de 16 ans.

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Bien que cette méthode existe depuis les années 80 et qu’elle soit déjà largement utilisée aux États-Unis, c’est la première fois qu’elle permet d’élucider un cas de meurtre au Québec.

Roger Ferland, ex-enquêteur au SPVQ, croit que l’arrivée de cette nouvelle avancée permettra d’élucider plusieurs autres «cold cases» et de redonner ainsi espoir aux familles en attente de réponses. 

Selon M. Ferland, l’évolution du volet ADN dans les affaires judiciaires consiste en «des avancées qui sont extrêmement encourageantes», notamment pour les familles des victimes. 

Il souligne, par le fait même, le travail considérable des policiers de Longueuil.

«Il y a 50 ans, il y a des patrouilleurs qui ont fait un travail de base assez exceptionnel [afin] de préserver des éléments de preuve», surtout au temps où ce genre de dossiers étaient rarement aussi complets, dit-il.

Voyez l’entrevue complète dans la vidéo ci-dessus.

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