Les usagers aux prises avec de graves troubles mentaux restent plus longtemps sur les listes d’attente du Guichet unique à un médecin de famille et ont peu accès aux soins en raison du manque de ressources appropriés, démontre le vérificateur général.
«L’accès aux services médicaux représente un défi pour plusieurs personnes ayant des troubles mentaux», constatent Guylaine Leclerc et son équipe.
Au Québec, près de 12% des postes en psychiatrie sans vacants dans les installations publiques. Dans l’est de l’île de Montréal, ce chiffre monte à 15%.
Puis, des lacunes dans l’organisation des servies «nuisent au continuum de soins.»
Le VG vise le manque de communication, l’accès difficile aux informations complètes des patients, puis la difficulté d’accès à un hébergement convenant aux besoins de ces personnes.