Lucie Guilbault a retrouvé son logement qu’elle louait à une famille depuis quatre ans dans un piteux état.
Fenêtres brisées et électroménagers tachés étaient notamment à déplorer, alors qu'une forte odeur d’urine empestait plusieurs pièces de la maison.

«On a procédé à beaucoup de travaux. On a enlevé des planchers, des sous-planchers et il y a encore cette odeur d’urine», mentionne Lucie Guilbault, propriétaire d’un logement à Terrebonne.

Après plus de deux mois de travaux, la facture continue de s’allonger.

«Ce n’est pas terminé encore. Jusqu’à maintenant, je suis rendu à 12 000$ de frais [pour remettre le logement dans un état acceptable] et je fais beaucoup de travaux par moi-même. Je ne sais pas le prix encore de la facture totale», dit-elle.

Sensibiliser les autorités
Lors de son passage à l’émission le 20h30 avec Pierre-Olivier Zappa sur les ondes de LCN, Mme Guibault souhaite l’ajout de mesures pour protéger les propriétaires.
Elle aimerait que les autorités mettent en place des outils pour sévir contre les mauvais locataires.
- Écoutez l'entrevue avec Éric Sansoucy, président du conseil d'administration de la CORPIQ, à l’émission de Yasmine Abdelfadel via QUB radio :
«J’aimerais avoir un registre de locataires malfaisants et avoir un dépôt de garantie raisonnable à la signature du bail», mentionne-t-elle.
Voyez son entrevue complète dans la vidéo ci-dessus.