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AFP
Au moins neuf personnes ont été abattues dans un centre commercial de Munich, dans le sud de l'Allemagne, par un Germano-Iranien de 18 ans.
L'Allemagne s'est recueillie dimanche à Munich derrière le président Joachim Gauck et la chancelière Angela Merkel à la mémoire des neuf personnes tuées il y a une semaine par un jeune forcené dans cette ville.
Angela Merkel a défendu avec fermeté jeudi sa politique d'accueil des réfugiés en dépit des critiques redoublées dont elle fait l'objet suite aux attentats qui ont ébranlé le pays et ont été commis par des demandeurs d'asile.
Le jeune forcené germano-iranien auteur de la fusillade de Munich vendredi dernier, avait des idées d'extrême droite racistes, même s'il ne faisait pas partie d'un groupuscule de la mouvance, ont indiqué jeudi les autorités locales.
Des voix s'élèvent dans une Allemagne en proie au doute après trois attaques perpétrées par des réfugiés pour réclamer un durcissement du contrôle des migrants dans le pays, accroissant la pression sur Angela Merkel qui jusqu'ici est restée très discrète.
Un jeune Afghan de 16 ans, ami de l'auteur de la tuerie de Munich, et qu'il avait rencontré le jour des faits, a été remis en liberté lundi, au lendemain de son interpellation, a annoncé à l'AFP une porte-parole de la police bavaroise.
Trois jours après la tuerie commise à Munich, lors de laquelle neuf personnes ont été tuées, la vie n’a toujours pas repris son cours pour une jeune Québécoise résidant dans la ville allemande.
La police allemande a annoncé avoir interpellé dimanche soir un adolescent afghan de 16 ans, ami de l'auteur de la sanglante tuerie commise à Munich et soupçonné de non-dénonciation de crime.
Des cris, des insultes et des coups de feu: l'enregistrement amateur réalisé par un téléphone intelligent ne dure que deux minutes, mais a permis rapidement de faire la lumière sur la fusillade de Munich.
Plusieurs centaines de personnes se sont réunies dimanche soir à Munich pour rendre hommage aux victimes du jeune forcené qui a tué par balle neuf personnes et fait 35 blessés deux jours plus tôt dans la capitale bavaroise, a constaté l'AFP.
Les réseaux sociaux se retrouvent sur le banc des accusés après la sanglante fusillade de Munich: outil d'information et d'aide à l'enquête, ils ont aussi offert un terrain fertile aux fausses rumeurs et permis au tireur de piéger ses victimes.
L'auteur de la fusillade de Munich en Allemagne, qui a fait 9 morts et 35 blessés vendredi, avait préparé son geste «depuis un an», mais n'a pas choisi ses victimes au moment de passer à l'acte, ont annoncé dimanche les autorités locales.
La fusillade ayant semé la panique à Munich vendredi a été perpétrée par un jeune forcené souffrant de problèmes psychiatriques et fasciné par le massacre commis il y a tout juste cinq ans par Breivik en Norvège.
Munichois ouvrant les portes de leur maison, hôtels proposant des chambres gracieusement aux habitants errants: Munich a connu un vaste élan de solidarité à l'occasion de la fusillade qui a provoqué un état de siège pendant des heures dans la métropole.
Toute la population de la Ville de Munich a été choquée par la fusillade qui a fait neuf morts vendredi. Claude Trudelle, délégué général du Québec à Munich, rappelle cependant que la population est consciente de la menace d’attaques.
Un jeune homme serviable et sans histoires, réservé et admirateur de jeux vidéo de guerre : pour ses voisins, encore sous le choc, rien ne pouvait laisser présager l'acte fou du tireur qui a assassiné neuf personnes à Munich.
Sept ressortissants étrangers - trois Kosovars, trois Turcs et un Grec - font partie des neuf personnes tuées vendredi soir par le forcené qui a semé la mort dans un centre commercial de Munich, ont annoncé samedi les autorités des pays concernés.
Des hurlements de sirènes qui déchirent la nuit estivale et des rues soudain désertes: Munich a connu un véritable état de siège dans la nuit de vendredi à samedi après l'attaque dans un centre commercial qui a fait neuf morts et dont l'auteur s'est suicidé.
L'Autriche a renforcé vendredi à la suite de l'attaque de Munich les mesures de sécurité dans les États autrichiens frontaliers de l'Allemagne et a mis sa force d'élite Cobra en état d'alerte, ont annoncé des responsables.
Le jeune Germano-Iranien de 18 ans qui a tué vendredi à Munich en Allemagne neuf personnes, avant de se donner la mort, souffrait d'une «forme de dépression» et n'avait aucun lien avec le groupe Etat islamique (EI).
Le président américain Barack Obama a promis vendredi aux autorités allemandes «tout le soutien dont elles ont besoin» alors qu'une «situation terroriste» est toujours en cours à Munich (sud).
If you are stuck at the Flaucher (river Isar / Zoo) area I can offer shelter #opendoor #offenetür— Felix (@Nullwinder) 22 juillet 2016
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Sarakim Dallaire, une jeune Québécoise résidente de la région de Munich, raconte de quelle manière elle a vécu la fusillade qui a frappé le centre commercial Olympia, endroit qu’elle fréquentait régulièrement avec ses amis.
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