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AFP
Six Québécois sont parmi les victimes de l’attaque d'un commando jihadiste contre un hôtel et un restaurant de Ouagadougou, au Burkina Faso.
Le café-restaurant Cappuccino, principal site des attentats de Ouagadougou ayant fait 30 morts en janvier 2016, a rouvert samedi ses portes, 17 mois après l'attaque jihadiste, a constaté un journaliste de l'AFP.
Un an après l’attentat qui a coûté la vie à six Québécois au Burkina Faso, Philippe Couillard s’est engagé, lors du dévoilement d’une œuvre d’art commémorative, «à combattre, mais aussi prévenir le terrorisme islamiste, et ce dans toutes ses manifestations».
Le 15 janvier 2016, un commando jihadiste attaquait un hôtel et un restaurant de la capitale de ce pays d’Afrique, Ouagadougou, faisant des dizaines de victimes. Parmi elles, six Québécois, dont quatre membres d’une même famille de Lac-Beauport.
Le Canada et la France vont financer la construction de postes-frontière au Burkina Faso, un pays sahélien pauvre d'Afrique de l'Ouest confronté depuis 2015 à des attaques jihadistes récurrentes, surtout dans le nord près du Mali et du Niger.
Le centre de plein air Le Saisonnier de Lac-Beauport a rendu hommage à la famille Carrier qui a tragiquement perdu la vie dans un attentat au Burkina Faso le 15 janvier dernier.
La gendarmerie et la police burkinabè ont arrêté «six personnes étrangères», suspectées d'être impliquées dans les attentats qui ont fait 30 morts, le 15 janvier à Ouagadougou, a-t-on appris mercredi de source sécuritaire.
C’est en présence de nombreux dignitaires qu’ont eu lieu samedi matin, à Québec, les émouvantes funérailles de Suzanne Bernier, une des six victimes québécoises des attentats du Burkina Faso.
Une envolée de colombes, symbole de paix et de liberté, a marqué les funérailles des cinq membres des familles Carrier et Chabot tués par des terroristes à Ouagadougou il y a trois semaines.
Plusieurs centaines de personnes se sont déplacées dès l'ouverture du salon funéraire jeudi soir afin de rendre hommage à cinq des six victimes québécoises de l'attentat terroriste survenu au Burkina Faso.
L'attaque jihadiste qui a fait 30 morts le 15 janvier à Ouagadougou a bien été menée par «trois assaillants», selon les premiers éléments de l'enquête, a déclaré mercredi la procureure burkinabè, précisant qu'une personne était encore en garde à vue.
Les funérailles de cinq des six victimes de l'attentat au Burkina Faso devraient se tenir le samedi 6 février à l'église St-Sacrement à Québec, a appris TVA Nouvelles.
Une soirée de prière à la mémoire des six Québécois tués dans l’attentat de Ouagadougou le 15 janvier se tient ce soir à la chapelle du Bon-Pasteur de Lac-Beauport, à 19h.
Les familles des six Québécois morts lors de l’attentat de Ouagadougou au Burkina Faso le 15 janvier sont soulagées de savoir que les dépouilles de leurs proches seront rapatriées dans quelques jours.
L’attente des familles des victimes de l’attentat de Ouagadougou pourrait bien tirer à sa fin, alors que les corps des six personnes pourraient être rapatriés au pays mardi ou mercredi.
Le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, se dit content d’avoir pu exprimer ses condoléances «au nom de tous les Canadiens» au conjoint de Maude Carrier, décédée dans l’attentat au Burkina Faso vendredi dernier, même si ce dernier lui a raccroché au nez.
Le conjoint de Maude Carrier, qui a péri dans l’attentat au Burkina Faso vendredi dernier, n’a pas apprécié le coup de fil reçu dimanche par le premier ministre Justin Trudeau. Il avoue lui avoir raccroché au nez.
Même si la famille Carrier ignore combien de temps il faudra pour rapatrier les corps des disparus, la GRC assure que des officiers sont sur le terrain, à Ouagadougou, afin de collaborer à l’enquête et accélérer autant que possible le processus.
L'assaut jihadiste qui a fait 30 morts vendredi au Burkina Faso a été mené par «six» personnes au total, dont trois ont été tuées et trois sont «encore recherchées», a affirmé mardi le premier ministre français Manuel Valls.
L’un des fils d’Yves Carrier, Frédéric, a eu l’engagement du gouvernement fédéral que les corps des six Québécois seront rapatriés.
Le gouvernement fédéral rapatriera «le plus rapidement possible» aux frais de l’État les dépouilles des victimes québécoises de l’attentat survenu, à Ouagadougou, au Burkina Faso, a annoncé le ministre des Affaires globales, Stéphane Dion.
Yves Richard, le conjoint de Maude Carrier, décédée dans les attentats au Burkina Faso, a appris par lui-même que son amoureuse était parmi les victimes de Ouagadougou.
La photographe franco-marocaine Leïla Alaoui, qui avait été grièvement blessée dans l'attentat de Ouagadougou, est décédée lundi soir, a annoncé l'agence de presse marocaine MAP.
Le gouvernement Trudeau n’entend pas revenir sur sa décision de retirer les CF-18 de la mission canadienne au Moyen-Orient, malgré le cri du cœur lancé par la mère de l’une des victimes de l’attentat survenu au Burkina Faso.
La mère de Maude Carrier, une des six victimes québécoises de l’attentat survenu vendredi soir à Ouagadougou, au Burkina Faso, est en colère contre le gouvernement canadien et sa gestion de la tragédie.
Philippe Couillard dénonce les attentats de Ouagadougou et Jakarta et offre ses condoléances aux familles des victimes alors que le drapeau du Québec est en berne.
La Commission scolaire de la Capitale à Lac-Beauport est toujours sous le choc quelques jours après l’annonce de la mort de six Québécois, dont quatre membres de la famille Carrier, lors de l’attentat perpétré au Burkina Faso.
Le groupe jihadiste Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) a publié la photo de trois membres du commando qui a attaqué plusieurs hôtels et un restaurant vendredi à Ouagadougou, faisant 29 morts, a indiqué lundi SITE, une organisation américaine qui surveille les sites internet islamistes.
En plus d’être anéantis par la mort de quatre des leurs dans les attentats au Burkina Faso, les proches de la famille Carrier ont été tenus dans l’ignorance pendant plus de 48 heures par le ministère des Affaires étrangères.
L'enquête se poursuivait lundi au Burkina pour déterminer les circonstances précises de l'assaut jihadiste qui a fait 29 morts à Ouagadougou, où l'armée s'est déployée après cette attaque d'une ampleur inédite dans ce petit pays d'Afrique de l'Ouest.
Le terrorisme se développe en un «triangle infernal» en Afrique, et la communauté internationale - y compris le Canada - doit contribuer à contrer ce phénomène, estime l’ancien Secrétaire général de la Francophonie, Jean-Louis Roy.
Québec solidaire et le Bloc québécois ont offert leurs condoléances aux familles des victimes, à la suite de l’attentat qui a fait 29 morts, dont six Québécois, vendredi soir, à Ouagadougou, capitale du Burkina Faso.
Le Québécois Patrick Gagnon travaille à quelques mètres de l’Hôtel Splendid et du Café-restaurant Cappuccino à Ouagadougou. Deux jours après l’attentat qui a fait 29 morts, dont six Québécois, c’est l’incompréhension dans ce quartier fréquenté par plusieurs étrangers.
Alors qu’il était en visite à la mosquée de Peterborough en Ontario, dimanche, le premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a demandé une minute de silence, pour honorer la mémoire des six victimes.
Ami de Louis Chabot, le député de Rimouski Harold LeBel pleure la perte d’un être travaillant et attentionné. Sa générosité et son ouverture sur le monde inspiraient grandement le whip de l’opposition officielle à l’Assemblée nationale.
Les proches des six Québécois décédés tragiquement samedi dans les attentats de Ouagadougou, au Burkina Faso, sont dans le néant quant aux détails du rapatriement des corps des victimes.
Malgré la douleur qui suit l’annonce du décès de son frère dans les attentats au Burkina Faso, la sœur d’Yves Carrier essaie de demeurer positive, à l’image de cet homme «au grand cœur».
Développement économique, actions humanitaires, constructions d’écoles: de nombreux coopérants internationaux sont à pied d’œuvre au Burkina Faso. Les attaques de vendredi ont poussé le milieu humanitaire à resserrer ses consignes de sécurité.
Triste réveil en ce dimanche matin pour la petite communauté de Lac-Beauport au lendemain de l’annonce qu’une famille de l’endroit a été victime des attentats de Ouagadougou, au Burkina Faso.
Attentat jihadiste à Ouagadougou: chronologie des événements
Patrick Gagnon, un Québécois qui travaille à Ouagadougou, a été bien chanceux. Il a quitté son bureau situé tout près du lieu de l’attentat qui a fait 29 morts moins d’une heure avant le drame.
Au moins 29 personnes ont été tuées, dont six Québécois, et une trentaine d’autres blessées lors d’une attaque jihadiste contre un hôtel de luxe et un restaurant de Ouagadougou hier, au Burkina Faso.
«On ne savait pas si on pourrait s'en sortir. On a essayé d'appeler nos familles pour leur dire qu'on n'était pas sûr qu'on allait se revoir», raconte la voix tremblante Suzanne Songa-Ouédraogo, une des rescapées de l'attaque jihadiste qui a fait 29 morts à Ouagadougou dans la nuit de vendredi à samedi.
Une famille de Lac-Beauport partie au Burkina Faso en voyage d’aide humanitaire a été assassinée lors du raid djihadiste survenu à Ouagadougou vendredi.
Vingt-neuf personnes, dont de nombreux étrangers, ont été tuées lors d'un raid jihadiste contre un hôtel et un restaurant de Ouagadougou, la capitale du Burkina Faso, une attaque d'une ampleur inédite dans ce petit pays d'Afrique de l'Ouest.
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