Dernière mise à jour :
AFP
Situation chaotique en Turquie où un groupe de putschistes affirme avoir pris le pouvoir alors que le gouvernement dit avoir la situation «largement sous contrôle».
Le parquet turc a requis mardi deux peines de prison à vie à l'encontre de l'ex-imam Fethullah Gülen, accusé d'avoir ourdi le putsch avorté du 15 juillet, tandis que la purge massive en cours contre ses sympathisants s'est étendue à des dizaines d'entreprises à Istanbul, le coeur économique de la Turquie.
Un rassemblement géant «pour la démocratie» marquant l'apothéose de trois semaines de mobilisation dans les rues après le putsch raté en Turquie s'est transformé en démonstration de force pour le président Erdogan: le peuple et l'opposition unis derrière lui.
Un tribunal d'Istanbul a lancé jeudi un mandat d'arrêt à l'encontre du prédicateur exilé aux États-Unis Fethullah Gülen, accusé par Ankara d'être le cerveau du coup d'État manqué, ce que l'intéressé nie.
Le président Erdogan a lancé son attaque la plus virulente contre l'Occident depuis la tentative de coup d'État ratée en Turquie, accusant les pays occidentaux de soutenir le «terrorisme» et les putschistes qui ont failli le renverser.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a déclaré samedi vouloir faire passer sous son contrôle direct les services de renseignement et les chefs d'état-major de l'armée, deux semaines après un coup d'État militaire raté.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a appelé vendredi l'Union européenne et les États-Unis à «se mêler de leurs affaires», après les critiques des Occidentaux contre les vastes purges qui ont suivi le coup d'État raté du 15 juillet.
Le pouvoir islamoconservateur du président turc Recep Tayyip Erdogan a intensifié mercredi les purges après le putsch raté du 15 juillet, fermant des dizaines de médias et chassant de l'armée près de 150 généraux.
Des hauts gradés turcs servant pour l'OTAN en Afghanistan ont été arrêtés mardi à Dubaï, le «grand ménage» déclenché en Turquie dans les heures ayant suivi le coup d'État du 15 juillet s'étendant pour la première fois à l'étranger.
L'opposant turc Fethullah Gülen demande aux autorités américaines de «résister» à la «tentation de donner (au président turc) Erdogan tout ce qu'il veut», notamment en l'extradant vers son pays d'origine, dans un éditorial publié mardi sur le site du «New York Times».
L'emblématique place Taksim à Istanbul, celle de tous les combats, se préparait dimanche à une imposante manifestation prodémocratie réunissant pour la première fois une partie de l'opposition turque et l'AKP au pouvoir, huit jours après l'échec du putsch.
Un Canadien, résident de Calgary en Alberta, aurait été arrêté et emprisonné en Turquie, soupçonné d’avoir joué un rôle dans la tentative de coup d’État ratée du 15 juillet dernier.
Les autorités turques vont dissoudre la garde présidentielle après avoir arrêté presque 300 de ses membres à la suite du putsch avorté, a annoncé samedi le premier ministre Binali Yildirim.
La Turquie a porté samedi à 30 jours la durée des gardes à vue, a dissous plus de 2000 institutions, et prévenu l'Europe qu'elle ne faiblirait pas dans sa riposte aux partisans du prédicateur Fethullah Gülen, accusés d'être à l'origine du putsch manqué.
Confronté aux mises en garde répétées de l'Europe, le président turc Recep Tayyip Erdogan peut compter sur ses partisans, par dizaines de milliers chaque soir dans les rues depuis le coup d'État manqué il y a une semaine.
La Turquie a vécu jeudi sa première journée d'état d'urgence depuis 15 ans, ce qui n'a pas empêché les Turcs de descendre en masse dans la rue à l'appel du président Recep Tayyip Erdogan contre le putsch raté ayant fait 265 morts.
La Turquie va déroger à la Convention européenne des droits de l'Homme (CEDH) en raison de l'instauration de l'état d'urgence jeudi, a annoncé le vice-Premier ministre Numan Kurtulmus.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a lancé jeudi l'appel à la prière du matin depuis la mosquée du complexe présidentiel d'Ankara, cinq jours après l'échec d'un putsch militaire visant à le renverser.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a annoncé tard mercredi l'instauration de l'état d'urgence pour trois mois et intensifié la purge en Turquie, cinq jours après l'échec d'un coup d'État militaire.
Voyez dans la vidéo ci-dessus de CNN des images d'une partie des dégâts causés par la tentative de putsch
Voyez dans la vidéo ci-dessus des images de dégâts résultant de la tentative de coup d'État
«Tant qu'Erdogan est président et en vie, tout ira bien»: à Kasimpasa, le quartier d'Istanbul où est né le président turc, son barbier et ami Hayri Goz exprime en quelques mots le soulagement et la fierté des habitants, après l'échec du coup d'État.
L'un des plus hauts gradés mis en détention pour son implication présumée dans le putsch raté en Turquie a nié être lié à cette tentative de soulèvement, lors de sa présentation lundi devant un tribunal.
Plusieurs milliers de Turcs sont à nouveau descendus dans les rues dans la nuit de dimanche à lundi afin de protester contre la tentative de coup d'État militaire qui a fait vaciller le pouvoir du président Recep Tayyip Erdogan, ont constaté des photographes de l'AFP.
Le président Recep Tayyip Erdogan a évoqué dimanche soir un possible rétablissement en Turquie de la peine capitale, officiellement abolie en 2004 dans le cadre de la candidature d'adhésion d'Ankara à l'Union européenne, afin de lutter contre le «virus» factieux.
Le ministre des Affaires étrangères, Stéphane Dion, a indiqué samedi que son ministère a reçu en quelques heures seulement, dans la foulée du coup d’État manqué de vendredi soir en Turquie, plus de 600 requêtes de Canadiens présents dans ce pays ou qui y ont de la famille.
Le département d'État américain a mis en garde samedi ses concitoyens contre tout déplacement en Turquie, 24 heures après la tentative manquée de coup d'Etat militaire qui a fait au moins 265 morts.
Le prédicateur en exil Fethullah Gülen, accusé par Ankara d'avoir fomenté le putsch avorté en Turquie, a nié toute implication samedi dans un entretien au New York Times, suggérant que le président turc Recep Tayyip Erdogan pourrait être lui-même l'instigateur.
Le secrétaire d'État américain John Kerry a appelé son homologue turc samedi pour l'assurer du soutien des États-Unis après une tentative avortée de coup d'État, mais également pour protester contre les allégations d'un soutien américain au putsch.
Des milliers de partisans du président Recep Tayyip Erdogan se sont réunis samedi soir à Istanbul pour lui confirmer leur soutien après l'échec d'un coup d'État d'un groupe de militaires, a rapporté l'AFP.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a appelé samedi les États-Unis à extrader le prédicateur exilé Gülen, responsable selon lui du putsch avorté lancé vendredi soir.
Le président américain Barack Obama a exhorté toutes les parties en Turquie à «agir dans le respect de l'État de droit» après une tentative de putsch avortée, selon un communiqué de la Maison-Blanche publié samedi.
Les autorités américaines ont suspendu les vols des compagnies aériennes américaines vers Istanbul et Ankara et interdisent tous les vols en provenance de Turquie que ce soit avec ou sans escale, selon les services diplomatiques américains, à la suite du putsch avorté en Turquie.
L'OTAN, dont Ankara est un membre clé, et l'Union européenne ont assuré la Turquie et le peuple turc de leur «soutien» samedi, au lendemain de la tentative de putsch militaire manquée.
Le gouvernement turc a annoncé samedi l'échec de la tentative de putsch qui a fait au moins 265 morts, mais des tensions persistaient comme en témoignait l'appel lancé par le président Erdogan à la poursuite de la mobilisation de ses sympathisants et la quasi-fermeture d'une importante base aérienne.
Le gouvernement canadien se dit «très préoccupé» par la situation en Turquie où une tentative de coup d’État a fait au moins 42 morts vendredi soir et dans la nuit de samedi.
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a dénoncé tôt samedi «une trahison» menée depuis plusieurs heures par des soldats putschistes, qu'il a accusés d'être liés à son ennemi juré Fethullah Gülen, un imam exilé depuis des années aux États-Unis.
We have no reason to think we’ve been fully blocked in #Turkey, but we suspect there is an intentional slowing of our traffic in country.— Policy (@policy) July 15, 2016
We have no reason to think we’ve been fully blocked in #Turkey, but we suspect there is an intentional slowing of our traffic in country.
Le président des États-Unis Barack Obama a exhorté vendredi toutes les parties en Turquie à soutenir le gouvernement turc «démocratiquement élu» du président Recep Tayyip Erdogan, alors qu'un coup d'État est en cours dans le pays, selon un communiqué de la Maison-Blanche.
Barack Obama
Président des États-Unis
En direct
Populaires